Audio & Texte//Lettre aux Evêques et membres de la CENCO par Honoré Ngbanda-Nzambo Ko Atumba Lundi 12 Février 2018
Lettre aux Evêques et membres de la CENCO par Honoré Ngbanda-Nzambo Ko Atumba
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TEXTE DE LA LETTRE
- Éminence le Cardinal Archevêque de Kinshasa,
- Excellences Messeigneurs le Président et Vice-président de la CENCO,
- Excellences Messeigneurs Archevêques et Évêques,
- Tous membres de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO)
« Le moment de la vérité a sonné: dites la vérité, toute la vérité au peuple congolais et aidez-le à s’assumer pour sauver son existence en péril! »
Après la dernière lettre que je vous ai adressée le 03 janvier 2017, après votre déclaration du 23 juin de l’année susdite à l’issue de votre 54ème Assemblée plénière ordinaire du 19 au 23 juin, après les deux marches organisées par le Comité laïc de coordination des catholiques (CLC) à travers le pays, et à l’aube de votre Assemblée plénière extraordinaire qui se tiendra du 15 au 17 février prochain pour examiner les questions liées à la crise sociopolitique dans le pays, je m’acquitte d’un devoir patriotique de revenir vers vous, pour une seconde fois, afin de vous apporter ma modeste contribution à votre noble démarche dont le but, je le crois, est de stopper la descente aux enfers de notre peuple et de notre patrie toute entière.
La grande majorité de la classe politique congolaise ayant failli à sa mission et démissionné de cette lourde responsabilité qu’est la sienne, les yeux et les oreilles du peuple congolais qui cherchent aujourd’hui le salut de partout sont résolument tournés vers votre prochaine assemblée générale de la CENCO. Devant l’extrême gravité de la crise actuelle, le peuple espère que les décisions qui découleront de vos prochains débats s’attaqueront, cette fois-ci, aux véritables racines des maux qui sont à la base de la longue crise sociopolitique dont souffre la République Démocratique du Congo, notre pays, depuis près de 22 ans.
L’analyse pertinente de la situation générale du pays sur le plan politique, sécuritaire, socio-économique, telle que vous l’aviez abordée lors de votre dernière assemblée générale vous a conduit à la conclusion que « le pays va très mal!» Et à partir de ce constat, vous avez invité le peuple congolais à se « mettre Débout ! »
Et creusant la problématique de cette crise plus en profondeur pour en chercher l’origine, vous avez été amenés à vous poser cette question : « D’où vient la crise actuelle? » À cette question fondamentale, vous avez donné la réponse suivante: « La situation misérable dans laquelle nous vivons aujourd’hui est une conséquence de la persistante crise socio-politique due principalement à la non-organisation des élections conformément à la Constitution de notre pays »! (Ndlr : c’est nous qui soulignons)
Et c’est ici que réside justement tout le problème : il s’agit de votre diagnostic du malade Congo! Votre démarche est comparable à un médecin qui, après avoir minutieusement ausculté son patient et décelé une tumeur cancéreuse, lui dit curieusement qu’il souffre de la malaria, et il lui prescrit une cure d’antibiotique! Quel sera donc le sort de ce malade?
Éminence le Cardinal, et Excellences Messeigneurs,
Il est évident que votre pertinente analyse de l’état catastrophique de la RDC ne souffre d’aucune critique, car elle décrit avec pertinence la réalité même de l’état de la nation. Par contre, le diagnostic que vous en dégagez nous semble curieusement irréaliste et loin de la Vérité que nous sommes censés défendre tous ensemble. Car, en votre qualité de « Bergers » et d’envoyés de Jésus-Christ sur terre, vous êtes obligés, pour la protection de vos brebis, de dire la vérité aux autorités de ce monde sans les craindre, comme Dieu l’a recommandé à son « envoyé » Jérémie: « …tu iras vers tous ceux auprès de qui je t’enverrai, et tu leur diras tout ce que je t’ordonnerai, ne les crains point (…), ne tremble pas en leur présence, de peur que je ne te fasse trembler devant eux » (Jérémie 1 : 7 et 17).
Éminence le Cardinal, Excellences Messeigneurs,
Vous ne pouvez pas prétendre que vous ignorez la quintessence de la véritable problématique de la crise congolaise, ses origines premières ainsi que les vraies identités de ses auteurs depuis 22 ans.
Vous savez que la non organisation des élections, « conformément à la constitution » tel que vous l’évoquez, n’est pas la véritable cause de la crise qui a décimé plusieurs millions de congolaises et de congolais, qui a pillé et bradé les richesses du pays en faveur de nos voisins africains et des multinationales occidentales.
Et vous n’êtes pas sans ignorer que la crise dont souffre la RDC aujourd’hui n’est pas née des élections de 2006 et de 2011! Bien au contraire, vous savez, mieux que quiconque, que cette crise est née de l’agression qu’a subi notre pays en octobre 1996, et qui a conduit à son occupation.
Celle-ci s’est matérialisée à partir de l’assassinat du président congolais Laurent Désiré Kabila le 16 janvier 2001, tout particulièrement à partir de son remplacement arbitraire et frauduleux par un jeune officier de l’armée patriotique rwandaise, Hyppolite Kanambe, auquel on a donné une fausse identité congolaise de « Joseph Kabila » pour bien camoufler la supercherie.
Vous savez aussi que toute cette crise congolaise s’est développée grâce à une série de mensonges grossiers véhiculés par les médias internationaux de l’Occident:
- Mensonge sur la nature même de l’agression de la RDC en 1996-1997, et qu’on a camouflée sous le vocable mensonger de « rébellion »;
- Mensonge sur l’identité des vrais agresseurs de la RDC (les 7 armées des pays africains soutenus par certaines puissances occidentales), et qu’on a présentés au monde, d’abordcomme des « Congolais-Banyamulenge » et ensuite comme « l’alliance des opposants congolais à Mobutu pour libérer le Zaïre »;
- Mensonges sur les agressions successives du Rwanda et de l’Ouganda présentées toutes comme étant des « rebellions » et des « guerres civiles », alors qu’il s’agissait des forces armées étrangères opérant avec les uniformes de l’armée congolaise. Ces supercheries ont fini par se dévoiler d’elles-mêmes : le général Nkundabatware Mihigo, présenté comme chef rebelle congolais, coule aujourd’hui des jours heureux au Rwanda, tandis que le général Bosco Ntaganda, un autre prétendu chef rebelle congolais, lorsqu’il fut traduit devant les juges de la CPI, il a été présenté comme sujet rwandais, et lui-même a choisi, par surcroit, de s’exprimer en … kinyarwanda!
Vous ne pouvez pas ignorer ni ces mensonges, ni les vérités occultées, parce que certains de vos illustres prédécesseurs ainsi que des prêtres, des religieux et des religieuses ont payé de leur sang leur courage d’avoir dénoncé publiquement, in illo tempore, ces MENSONGES en proclamant la VERITE!
Ils ont justement refusé toute compromission avec le mensonge et la corruption. Ils ont choisi de lever la voix, avec courage, pour stigmatiser le mensonge et annoncer au monde la vérité concernant le complot international qui menace l’existence de la RDC et son peuple. Tous ces braves et fidèles serviteurs de Dieu tombés sous les flèches de l’ennemi sont les martyrs de la vérité. Ils sont nos martyrs et vos martyrs! Ils sont morts pour la souveraineté du peuple congolais et pour l’intégrité du territoire national. Leur liste est longue et non exhaustive… Je rappelle cependant à votre auguste mémoire quelques cas saillants:
- Mgr Christophe MUNZIHIRWAetMgr Emmanuel KATALIKO, tous deux Archevêques de Bukavu ont été assassiné par les forces d’occupation rwandaises. Mgr Kataliko, avant de mourir, vous a adressé sa dernière recommandation, en tant que ses collègues, en guise de testament. Il a dit : «Pensez au peuple qui attend que les Évêques parlent !» Il espère encore aujourd’hui, de là-haut, que son message soit entendu par vous! Il espère que vous allez enfin dire la vérité au peuple!
- L’appel pathétique du CardinalFrédéric ETSOUinterpellant à partir de Bruxelles Mr l’Abbé Malumalu, l’enjoignant de dire toute la vérité au peuple congolais et au monde au sujet de vrais résultats des élections présidentielles de 2006, cet appel disais-je, est resté sans écho!
- Les abbésJean Gaston Buli,Daniel CIZIMIA, Père Vincent MACHOZI et l’abbé Joseph Mulimbi ainsi que la sœur Clara Agano KAHAMBU, sans oublier des millions d’autres bergers à tous les niveaux de toutes les couches sociales du pays, ainsi que des simples chrétiens marcheurs du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018, sont tombés sous les balles de l’occupant. Ces victimes sont tous des martyrs de la vérité et de la liberté. Leur sang nous interpelle tous!
- Vous n’avez certainement pas oublié à quel point vous avez été divisés au sein de la CENCO lorsque « Joseph Kabila » a fait appel au même Abbé Malumalu afin qu’il reprenne la tête de la CENI pour qu’ils rééditent leurs opérations de fraude pour les élections prévues en 2016. Mais cette fois, Dieu, le juste juge, en a disposé autrement.
Aujourd’hui et plus que jamais, après les événements du 31 décembre 2017 et ceux du 21 janvier 2018, l’Église catholique semble prendre progressivement la mesure du danger. Je m’en voudrais pour preuve l’interpellation de Son Éminence le Cardinal Monsengwo qui vient d’élever la voix en ces termes :
« Comment ferons-nous confiance à des dirigeants incapables de protéger la population, de garantir la paix, la justice, l’amour du peuple ? Comment ferons-nous confiance à des dirigeants qui bafouent la liberté religieuse du peuple, liberté religieuse qui est le fondement de toutes les libertés? (…) Que des mystifications présentées comme informations véridiques et fiables. Il est temps que la vérité l’emporte sur le mensonge systémique (ndlr: c’est nous qui soulignons), que les médiocres dégagent et que règnent la paix, la justice en RD Congo », a-t-il insisté sous un ton ferme. C’est donc clair que le Cardinal Monsengwo reconnait ici que le mensonge a été érigé en système de pouvoir par le régime de prédation au pouvoir en RDC!
Et de son côté, le Vice-président de la CENCO, Mgr Fridolin Ambongo, à qui je présente mes sincères félicitations pour sa nomination par le Pape François comme Archevêque coadjuteur de l’Archidiocèse de Kinshasa, a déclaré : « si quelqu’un n’a pas du respect pour le créateur, comment peut-il en avoir pour l’homme (…) il appartient au peuple congolais de rester debout et vigilant, il doit avoir son destin en mains. (Ndlr : c’est nous qui soulignons) »
Je ne saurais passer sous silence les propos du Pape François qui a dénoncé, lors de la cérémonie des échanges de vœux avec le corps diplomatique accrédité au Vatican, « l’hypocrisie de la communauté internationale au sujet de la crise politique en RDC ».
Nous observons donc avec beaucoup d’intérêts ce processus de réveil et d’éveil de l’Église catholique face au drame le plus cruel et le plus sanglant de notre temps. J’ai noté avec satisfaction le progrès remarquable de la perception de la crise congolaise à travers le « message des prêtres aux dirigeants de la RDC ». Dans ce message lu lors de la cérémonie de commémoration des victimes de la marche du 21 février dernier, l’Abbé Jean-Marie Nkonde, le porte-parole des prêtres, a situé bien le début de la crise congolaise à 1997 et non au non-respect du calendrier électoral actuel par « Kabila ». Il a dit en effet ceci:
« Il est aussi vrai que lorsque nous pleurons ces morts du 21 Janvier, nous sentons remonter en nous, les douleurs causées par les tueries du 31 décembre 2017 et le massacre de beaucoup d’autres congolais (plus de Huit millions parmi lesquels les évêques, les prêtres, les religieux et les religieuses) qui sont morts partout dans notre pays depuis le début de la tragédie que nous situons en 1997 (ndlr : c’est nous qui soulignons).
A cet effet, nous avons aussi suivi comment cette levée de bouclier de l’Église catholique a provoqué un véritable tremblement de terre au sein du régime sanguinaire d’occupation, au point qu’il a déclenché une vaste campagne de désinformation, d’intoxication, voire de diffamation et d’intimidation contre l’Église catholique et ses prélats.
Nous exprimons ici tous nos encouragements aux Archevêques et Évêques, ainsi qu’aux prêtres et chrétiens laïcs catholiques, et les exhortons à entreprendre le vrai combat de la souveraineté du peuple congolais face aux prédateurs venus de tous les cieux pour dépecer le grand Congo.
Voilà pourquoi je me suis décidé à vous adresser fraternellement cette lettre en tant que congolais et chrétien pour vous dire solennellement, Éminence le Cardinal et Excellences Messeigneurs, que l’heure de la VÉRITÉ a maintenant sonné!
Je vous écris donc pour vous dire que le combat que nous menons en RDC est celui de la VERITE contre le MENSONGE, de la LUMIERE contre les TENEBRES, de la PAIX contre la BARBARIE, de l’UNITE contre la DIVISION, de la VIE contre la MORT, et de la SOUVERENAITE contre l’OCCUPATION de notre pays et l’ESCLAVAGISATION de notre peuple!
Les prêtres ont terminé leur message aux autorités de la RDC par un appel qui rejoint nos préoccupations et celles du peuple congolais aujourd’hui. Nous espérons donc que votre prochaine assemblée générale des Évêques prendra en considération cet appel des prêtres catholiques congolais: « Battons-nous pour construire la vérité et non le mensonge. Quel que soit la falsification, la vérité trouve toujours son sentier. »
Je vous écris donc pour demander, au nom du peuple congolais tout entier et au nom du peuple de Dieu que vous conduisez, qu’à l’issue de vos assises du 15 au 17 février prochain, vous disiez la vérité et rien que la vérité à votre peuple, et que vous lui indiquiez la vraie solution pour le sortir du bourbier dans lequel on l’a plongé! Beaucoup de nos enfants qui se battent aujourd’hui dans les rues à mains nues n’étaient même pas là quand l’ennemi avait envahi le Congo, leur pays. Aujourd’hui, on les invite à manifester « pour la démocratie » devant les barbares qui occupent par la force leur pays! Ces jeunes gens ont droit à la vérité : nous devons leur révéler l’identité réelle de leurs ennemis et la nature exacte du danger qui les menace. Ainsi, ils sauront clairement quel combat ils doivent mener aujourd’hui et demain, et avec quelles armes!
C’est pourquoi je vous exhorte instamment à dire la vérité, toute la vérité à votre peuple, et particulièrement à notre jeunesse qui a perdu tout repère à cause de la médiocrité de son élite politique:
- Dites-leur, s’il vous plait, que le Congo ne souffre pas aujourd’hui d’une crise de démocratie, mais d’un complot international qui a planifié l’occupation de son territoire national pour le balkaniser et piller ses immenses richesses;
- Dites-leur, je vous en prie, qu’aucune élection organisée sous le régime d’occupation du Congo n’a pu apporter ne fut ce qu’un début de solution à la crise congolaise! Et cela parce que vivant dans le système d’occupation, les Congolais peuvent voter autant de fois qu’ils veulent, mais tant que les forces barbares d’occupation contrôleront les institutions du pays, les hommes et les femmes élus par le peuple ne seront jamais proclamés vainqueurs par le pouvoir d’occupation. Ainsi, le peuple congolais votera ses candidats, mais il n’élira jamais ses dirigeants! Les élections de 2006 et 2011 constituent des illustrations flagrantes de cette vérité!
- Dites-leur que le fraudeur et imposteur étranger qui occupe le sommet de nos institutions ne quittera pas notre pays sans une forte pression de toutes les couches de notre société!
- Dites-leur que les dizaines des prétendus dialogues inter-congolais n’ont servi qu’à renforcer le système d’occupation de la RDC et n’ont apporté aucune solution durant 20 ans!
- Dites-leur que les conditions ne sont pas encore réunies pour organiser les élections libres et transparentes en ce moment, car tout est encore sous le contrôle des occupants étrangers, à savoir : le pouvoir politique, l’économie, les finances, les forces armées et la police nationale, ainsi que tous les services de sécurité du pays. Voir à ce sujet mon document de 30 pages : Enquête sur le fonctionnement du réseau d’infiltration et du système d’occupation de la RD Congo par le Rwanda : http://www.info-apareco.com/2017/03/21/enquete-sur-le-fonctionnement/.
- Dites-leur enfin, que plus nous tarderons à mettre un terme à cette situation d’humiliation et de prédation, plus nous verrons nos droits fondamentaux nous échapper pour toujours. Car les différents groupes de prédateurs qui font main basse sur la RDC sont tous déterminés à conduire leur projet jusqu’au bout et priver ainsi les Congolais du droit fondamental d’exister en tant que peuple et en tant que nation.
Au regard de tout ce qui précède, je voudrais modestement rappeler à votre attention, au moment où vous allez vous réunir pour cogiter sur la crise congolaise, la proposition des sept mesures (reprises dans le document en annexe) que nous avons soumise à l’élite congolaise, toutes tendances confondues, en guise de schéma des solutions et de pressions que notre classe politique et tout notre peuple pourraient envisager d’appliquer à l’unisson pour mettre fin au fléau de l’occupation, de la balkanisation et du pillage de la RD Congo.
Je me permets de vous préciser que la majorité de ces mesures que nous proposons n’appelle pas les actes de violence, et peut être aussi adoptée par la dynamique du CLC. Car ces mesures ont la grande vertu de conduire le peuple congolais à déstabiliser les institutions du régime sanguinaire de « Kabila » et de la décrédibiliser devant la communauté internationale, en les vidant de toute leur prétendue légitimité nationale et internationale. Je vous invite donc à bien considérer ces 7 mesures.
C’est après avoir fait tomber toutes les institutions scélérates de l’occupation que les Congolais s’attèleront enfin à installer la démocratie dans leur grand et beau pays, la République Démocratique du Congo.
Éminence le Cardinal et Messeigneurs,
En vous écrivant cette lettre, mon intention n’est nullement de vous juger ni de vous imposer un quelconque dictat, loin s’en faut. A la veille de vos assises pour réfléchir sur le drame qui menace l’existence même de la RDC, notre patrie, j’ai estimé que je devais m’acquitter d’un devoir patriotique, celui de vous apporter humblement la vision d’une frange importante de la résistance congolaise de l’intérieur et de l’extérieur du pays, qui estime nécessaire de vous apporter sa part de vérité dans la recherche des solutions idoines pour sortir notre pays et notre peuple du bourbier dans lequel on l’a plongé depuis plus de 20 ans. J’espère donc que vous en tiendrez bon compte dans vos débats que je souhaite francs et fructueux pour l’intérêt supérieur de notre pays, la République Démocratique du Congo.
Pour l’amour du Congo notre patrie, je ne me tairai pas. Je ne prendrai point de repos, Jusqu’à ce que son salut paraisse, comme l’aurore, Et sa délivrance, comme un flambeau qui s’allume. (Esaïe 62, 1)
Paris, le 12 février 2018
Honoré Ngbanda Nzambo Ko Atumba
Président de l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO) et Responsable du pilotage stratégique du Conseil National de la Résistance Congolaise (CNRC)
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